Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques ? Expertise scientifique collective Coll. Matière à débattre & décider
Auteurs : Andrivon Didier, Savini Isabelle
Introduction
1. Éléments de contexte
Le cuivre : propriétés et utilisations
Les alternatives au cuivre : nature et réglementation
2. Les méthodes alternatives à l’usage du cuivre
Les préparations naturelles biocides
Les agents microbiologiques de biocontrôle
Les résistances variétales
Les stimulateurs des défenses naturelles des plantes
L’isothérapie, les préparations homéopathiques et biodynamiques
3. La gestion agronomique des risques phytosanitaires
Les méthodes prophylactiques
La protection physique contre les infections
La conduite des plantes et des couverts
Éléments de conclusion
4. L’insertion des leviers alternatifs dans des systèmes intégrés de protection
Les évaluations et comparaisons de systèmes de culture
Les stratégies d’acteurs, la mise à disposition et l’acceptabilité des innovations
Éléments de conclusion
5. Conclusions générales
Une masse considérable d’information disponible…
… Mais très inégalement répartie entre les champs de recherche et de développement
Des solutions individuelles à effets partiels…
… Mais encore insuffisamment insérées au sein de systèmes intégrés de protection des plantes
Se passer du cuivre : des marges de manœuvre considérables
Plusieurs domaines insuffisamment explorés en recherche, mais cruciaux dans une perspective d’élimination complète du cuivre
Des enseignements à tirer depuis et vers les systèmes dits « conventionnels »
Didier Andrivon est directeur de recherche à l’Institut de génétique, environnement et protection des plantes (IGEPP, Rennes) ; il est membre du Comité interne en agriculture biologique (CIAB) de l’Inra.
Isabelle Savini, ingénieure, travaille à la Délégation à l’expertise, à la prospective et aux études (DEPE, Paris) ; elle est également membre du CIAB.
Date de parution : 06-2019
Ouvrage de 124 p.
14.5x21 cm