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OEuvres politiques Edition contenant Le Prince et les Décades de Tite Live Coll. Sciences sociales

Langue : Français

Auteurs :

Couverture de l’ouvrage OEuvres politiques
Oeuvres politiques de Machiavel : édition contenant Le Prince et les Décades de Tite Live / traduction Périès ; avec une étude, des notices et notes par M. Ch. Louandre
Date de l'édition originale : 1851

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TABLE DES MATIÈRES

Pag.
Avertissement sur cette édition.V
Nicolas Macspanavel.VII
LE PRINCE. - Avant-propos.4
Nicolas Macspanavel au magnifique Laurent.5
CHAPITRE PREMIER. - Combien il y a de sortes de principautés, et par quels moyens on peut les acquérir.7
CHAP. II. - Des principautés héréditaires.7
CHAP. III. - Des principautés mixtes.9
CHAP. IV. - Pourquoi les États de Darius, conquis par Alexandre, ne se révoltèrent point contre les successeurs du conquérant après sa mort.19
CHAP. V. - Comment on doit gouverner les États ou principautés qui, avant la conquête, vivaient sous leurs propres lois.22
CHAP. VI. - Des principautés nouvelles acquises par les armes et par l'habileté de l'acquéreur.24
CHAP. VII. - Des principautés nouvelles qu'on acquiert par les armes d'autrui et par la fortune.28
CHAP. VIII. - De ceux qui sont devenus princes par des scélératesses.37
CHAP. IX. - De la principauté civile.42
CHAP. X. - Comment, dans toute espèce de principauté, on doit mesurer ses forces.46
CHAP. XI. - Des principautés ecclésiastiques.48
CHAP. XII. - Combien il y a de sortes de milices et de troupes mercenaires.52
CHAP. XIII. - Des troupes auxiliaires, mixtes et propres.58
CHAP. XIV. - Des fonctions qui appartiennent au prince, par rapport à la milice.63
CHAP. XV. - Des choses pour lesquelles tous les hommes, et surtout les princes, sont loués ou blâmés.66
CHAP. XVI. - De la libéralité et de l'avarice.67
CHAP. XVII. - De la cruauté et de la clémence, et s'il vaut mieux être aimé que craint.70
CHAP. XVIII. - Comment les princes doivent tenir leur parole.74
CHAP. XIX. - Qu'il faut éviter d'être méprisé et haï.77
CHAP. XX. - Si les forteresses, et plusieurs autres choses que font souvent les princes, leur sont utiles ou nuisibles.89
CHAP. XXI. - Comment doit se conduire un prince pour acquérir de la réputation.94
CHAP. XXII. - Des secrétaires des princes.99
CHAP. XXIII. - Comment on doit fuir les flatteurs.100
CHAP. XXIV. - Pourquoi les princes d'Italie ont perdu leurs États.102
CHAP. XXV. - Combien, dans les choses humaines, la fortune a de pouvoir, et comment on peut y résister.104
CHAP. XXVI. - Exhortation à délivrer l'Italie des barbares.108
DISCOURS SUR LES DÉCADES DE TITE-LIVE. - Avant-propos.117
Nicolas Macspanavel à Zanobi Buondelmonti et à Come Ruccellai.121
LIVRE PREMIER.123
CHAPITRE PREMIER. - Quels ont été, en général, les commencements de la plupart des villes, et en particulier ceux de Rome.125
CHAP. II. - Combien il y a de sortes de républiques, et de quelle espèce fut la république romaine.130
CHAP. III. - Des événements qui amenèrent à Rome la création des tribuns, dont l'institution perfectionna le gouvernement de la république.137
CHAP. IV. - La désunion entre le peuple et le sénat de Rome fut cause de la grandeur et de la liberté de la république.139
CHAP. V. - A qui peut-on plus sûrement confier la garde de la liberté, aux grands ou au peuple? et quels sont ceux qui ont le plus de motifs d'exciter des troubles, ceux qui veulent acquérir ou ceux qui veulent conserver?141
CHAP. VI. - Si l'on pouvait établir dans Rome un gouvernement qui fit cesser les inimitiés qui partageaient le peuple et le sénat.144
CHAP. VII. - Combien les accusations sont nécessaires dans une république pour maintenir la liberté.150
CHAP. VIII. - Autant les accusations sont utiles dans une république, autant les calomnies sont dangereuses.154
CHAP. IX. - Il est nécessaire d'être seul quand on veut fonder une nouvelle république, ou lorsqu'on veut rétablir celle qui s'est entièrement écartée de ses anciennes institutions.158
CHAP. X. - Autant les fondateurs d'une république ou d'un royaume sont dignes de louanges, autant sont blâmables ceux qui établissent la tyrannie.161
CHAP. XI. - De la religion des Romains.166
CHAP. XII. - Combien il importe de conserver l'influence de la religion, et comment l'Italie, pour y avoir manqué, grâce à l'Église romaine, s'est perdue elle-même.170
CHAP. XIII. - Comment les Romains se servirent de la religion pour organiser le gouvernement de la république, poursuivre leurs entreprises et arrêter les désordres.174
CHAP. XIV. - Les Romains interrogeaient les auspices suivant la nécessité, et mettaient la plus grande prudence à paraître observer la religion, même quand ils étaient contraints de la violer, et punissaient ceux qui témoignaient témérairement du mépris pour elle.176
CHAP. XV. - Comment les Samnites curent recours à la religion comme à un dernier remède dans leurs maux.179
CHAP. XVI. - Un peuple accoutumé à vivre sous un prince, et qui devient libre par accident, ne maintient qu'avec peine la liberté qu'il a conquise.181
CHAP. XVII. - Un peuple corrompu qui recouvre sa liberté ne peut que très-difficilement se maintenir libre.185
CHAP. XVIII. - De quelle manière on peut maintenir dans une cité corrompue le gouvernement libre, lorsqu'elle en jouit déjà, ou l'y établir lorsqu'il n'existe point.188
CHAP. XIX. - Un prince faible peut se maintenir après un prince ferme et sage; mais un royaume ne peut subsister quand deux princes faibles succèdent l'un à l'autre.192
CHAP. XX. - Le règne successif de deux princes vertueux présente les plus heureux résultats; et comme les républiques bien organisées ont nécessairement une succession de citoyens vertueux, leurs succès et leurs conquêtes doivent avoir plus d'extension.195
CHAP. XXI. - Combien sont dignes de blâme le prince ou la république qui n'ont point d'armée nationale.196
CHAP. XXII. - Ce qu'il y a de remarquable dans le combat des Horaces et des Curiaces.197
CHAP. XXIII. - On ne doit pas mettre en danger toute sa fortune sans déployer en même temps toutes ses forces; et c'est pourquoi il est souvent dangereux de garder les passages.199
CHAP. XXIV. - Les Etats bien organisés établissent des peines et des récompenses pour les citoyens, et ne font jamais des unes une compensation pour les autres.201
CHAP. XXV. - Quiconque veut réformer l'ancienne constitution dans un pays libre doit y conserver au moins l'ombre des antiques usages.203
CHAP. XXVI. - Un prince établi récemment dans une ville, ou dans une contrée qu'il a conquise, doit y renouveler la face de toutes les institutions.204
CHAP. XXVII. - Les hommes savent être rarement ou entièrement bons ou entièrement mauvais.205
CHAP. XXVIII. - Pourquoi les Romains furent moins ingrats envers leurs concitoyens que les Athéniens.207
CHAP. XXIX. - Quel est le plus ingrat d'un peuple ou d'un prince.208
CHAP. XXX. - Moyens que doit employer un prince ou une république pour éviter le vice de l'ingratitude, et ceux dont doit user à son tour tel capitaine ou tel citoyen pour n'en être pas victime.213
CHAP. XXXI. - Quelques erreurs qu'eussent commises les Romains, ils ne furent jamais punis d'une manière extraordinaire; leur ignorance ou les mauvais partis qu'ils avaient pris ne leur attirèrent jamais aucun châtiment, même lorsque la république en avait éprouvé des dommages.215
CHAP. XXXII. - Une république ou un prince ne doit jamais différer trop longtemps à soulager le peuple dans ses besoins.217
CHAP. XXXIII. - Lorsque quelque grand danger s'est élevé, soit au dedans, soit au dehors, contre un État, il vaut mieux temporiser avec le mal que de le heurter de front.218
CHAP. XXXIV. - L'autorité du dictateur fut toujours avantageuse et jamais nuisible à la république romaine; et c'est le pouvoir qu'usurpent les citoyens, non celui qu'ils obtiennent par de libres suffrages, qui peut nuire à la vie civile.222
CHAP. XXXV. - Pourquoi la création du décemvirat fut nuisible dans Rome à la liberté de la république, quoique cette magistrature eût été établie par les suffrages libres du peuple.225
CHAP. XXXVI. - Les citoyens qui ont obtenu les premières dignités de l'État ne doivent pas dédaigner les dernières.227
CHAP. XXXVII. - Des tumultes qu'excita dans Rome la loi agraire, et combien il est dangereux de faire, dans une république, des lois qui aient des effets rétroactifs et qui choquent d'antiques coutumes.229
CHAP. XXXVIII. - Les républiques faibles sont irrésolues et ne savent point prendre un parti; ou si elles parviennent à en adopter un, c'est plutôt à la nécessité qu'à leur choix qu'il faut l'attribuer.233
CHAP. XXXIX. - On voit souvent arriver des événements semblables chez des peuples différents.236
CHAP. XL. - De la création du décemvirat à Rome; de ce que cette institution a de remarquable, et comment, entre une infinité d'autres considérations, le même événement peut sauver ou renverser un État.239
CHAP. XLI. - Passer subitement de la modestie à l'orgueil, de la clémence à la cruauté, sans intermédiaire, c'est une conduite imprudente et sans but.245
CHAP. XLII. - Combien les hommes peuvent aisément se corrompre.246
CHAP. XLIII. - Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont des soldats braves et fidèles.247
CHAP. XLIV. - Une multitude sans chef n'est d'aucune utilité, et il ne faut pas d'abord menacer, et demander ensuite l'autorité.248
CHAP. XLV. - C'est donner un mauvais exemple que de ne pas observer une loi, surtout lorsqu'on en est l'auteur; et renouveler chaque jour les offenses envers le peuple ne peut qu'offrir les plus grands dangers à celui qui gouverne.249
CHAP. XLVI. - Les hommes se jettent d'une ambition dans une autre; on cherche d'abord à se préserver des offenses, et ensuite à opprimer ses rivaux.252
CHAP. XLVII. - Les hommes, quoique sujets à se tromper sur les affaires générales, ne se trompent guère sur les affaires particulières.254
CHAP. XLVIII. - Pour empêcher qu'une magistrature ne soit donnée à un méchant ou à un homme incapable, il faut la faire briguer par un homme plus pervers et plus incapable encore, ou par l'homme le plus illustre et le plus vertueux.258
CHAP. XLIX. - Si les villes libres dès leur naissance, telles que Rome, ont de la peine à établir des lois qui conservent leur liberté, cela est presque impossible pour celles qui sont nées dans la servitude.259
CHAP. L. - Un conseil ni un magistrat ne doivent pouvoir entraver les affaires d'un État.262
CHAP. LI. - Une république ou un prince doivent paraître exécuter par grandeur d'âme ce qu'ils font par nécessité.264
CHAP. LII. - Le moyen le plus sûr et le moins tumultueux de réprimer l'ambition d'un citoyen qui devient tout-puissant dans un État, c'est de le devancer dans les voies mêmes qu'il a prises pour parvenir à la grandeur.265
CHAP. LIII - Souvent le peuple désire sa ruine, trompé par la fausse apparence; et rien n'est plus facile que de l'entraîner par de vastes espérances et des promesses éblouissantes.267
CHAP. LIV. - Quel est le pouvoir d'un grand homme pour retenir dans le devoir un peuple soulevé.272
CHAP. LV. - On gouverne sans peine un État dont le peuple n'est pas corrompu: là où l'égalité existe il ne peut se former une principauté, et là où elle ne se trouve point on ne peut établir de république.273
CHAP. LVI. - Les grands changements qui arrivent dans une cité ou dans une province sont toujours précédés de signes qui les annoncent ou d'hommes qui les prédisent.278
CHAP. LVII. - Le peuple en masse est fort; il est faible individuellement.280
CHAP. LVIII. - La multitude est plus sage et plus constante qu'un prince.281
CHAP. LIX. - Quelles sont les confédérations ou les ligues qui doivent inspirer le plus de confiance, ou celles faites avec une république, ou celles faites avec un prince.288
CHAP. LX. - Comment le consulat et toutes les autres magistratures se donnaient dans Rome, sans égard pour l'âge.290
LIVRE SECOND.293
CHAPITRE PREMIER. - Quelle fut la cause la plus puissante de la grandeur des Romains, ou le courage ou la fortune.297
CHAP. II. - Quels furent les peuples que Rome eut à combattre, et avec quelle opiniâtreté ils défendirent leur liberté.302
CHAP. III. - Rome devint une ville puissante en ruinant les cités voisines, et en admettant facilement les étrangers aux honneurs.309
CHAP. IV. - Les républiques ont employé trois moyens pour s'agrandir313
CHAP. V. - Des changements de religion et de langage, joints aux désastres causés par les inondations et le fléau de la peste, effacent la mémoire des événements.317
CHAP. VI. - Comment les Romains se comportaient dans la conduite de la guerre.320
CHAP. VII. - Quelle étendue de terrain les Romains accordaient à chaque colon.323
CHAP. VIII. - Des causes pour lesquelles les peuples s'éloignent du pays natal pour inonder des contrées étrangères.324
CHAP. IX. - Des causes qui donnent ordinairement naissance à la guerre entre les souverains.328
CHAP. X. - Malgré l'opinion générale, l'argent n'est pas le nerf de la guerre.330
CHAP. XI. - Qu'il est imprudent de s'allier avec un prince qui a plus de réputation que de forces réelles.334
CHAP. XII. - S'il vaut mieux, lorsqu'on craint d'être attaqué, porter la guerre chez son ennemi que d'attendre chez soi.336
CHAP. XIII. - La ruse sert plus que la force pour s'élever des derniers rangs au faite des honneurs.341
CHAP. XIV. - Les hommes se trompent souvent lorsqu'ils pensent adoucir l'orgueil par la modération.343
CHAP. XV. - Les gouvernements faibles ne prennent jamais que des résolutions ambiguës, et la lenteur dans les délibérations est toujours nuisible.345
CHAP. XVI. - Combien, de nos jours, les armées s'éloignent des institutions militaires des anciens.349
CHAP. XVII. - Jusqu'à quel point on doit faire cas de l'artillerie dans nos armées modernes, et si l'opinion qu'on en a généralement est fondée.354
CHAP. XVIII. - L'autorité des Romains et l'exemple de l'ancienne dis cipline militaire doivent faire accorder plus d'estime à l'infanterie qu'à la cavalerie.363
CHAP. XIX. - Les conquêtes faites par des républiques mal organisées, et qui ne sont pas le résultat d'une vertu semblable à celle des Romains, sont plutôt pour elles une cause de ruine qu'une source de grandeur.368
CHAP. XX. - A quels dangers s'expose un prince ou une république qui se sert de troupes auxiliaires ou mercenaires.373
CHAP. XXI. - Le premier préteur que, quatre cents ans après avoir commencé à faire la guerre, les Romains établirent hors de Rome, fut celui qu'ils envoyèrent à Capoue.376
CHAP. XXII. - Combien souvent sont fausses les opinions des hommes dans le jugement qu'ils portent des grandes choses.379
CHAP. XXIII. - Combien Rome, lorsqu'un événement quelconque la contraignait à statuer sur le sort de ses sujets, évitait avec soin toutes les demi-mesures.382
CHAP. XXIV. - Les forteresses sont en général plus nuisibles qu'utiles.387
CHAP. XXV. - Vouloir profiter de la désunion qui règne dans une ville pour s'en emparer est un parti souvent nuisible.396
CHAP. XXVI. - Le mépris et l'injure engendrent la haine contre ceux qui s'en servent, sans leur procurer aucun avantage.398
CHAP. XXVII. - Il doit suffire aux princes et aux gouvernements sages d'obtenir la victoire; ceux qui veulent aller au delà y trouvent ordinairement leur perte.400
CHAP. XXVIII. - Combien il est dangereux pour un prince ou pour une république de ne point venger une injure faite soit au gouvernement, soit à un particulier.403
CHAP. XXIX. - La fortune aveugle les hommes lorsqu'elle ne veut pas qu'ils s'opposent à ses desseins.406
CHAP. XXX. - Les républiques ou les princes dont la puissance est réelle n'achètent point des amis à prix d'argent, mais les acquièrent par leur courage et la réputation de leurs forces.409
CHAP. XXXI. - Combien il est dangereux de se confier aux bannis.414
CHAP. XXXII. - Des divers moyens qu'employaient les Romains pour s'emparer d'une ville.416
CHAP. XXXIII. - Les Romains laissaient les généraux de leurs armées entièrement libres dans leurs opérations.420
LIVRE TROISIÈME. - CHAPITRE PREMIER. - Pour qu'une religion et un État obtiennent une longue existence, ils doivent être souvent ramenés à leur principe.423
CHAP. II. - Combien il y a de sagesse à feindre pour un temps la folie.429
CHAP. III. - Combien il est nécessaire, pour consolider une liberté qu'on vient d'acquérir, d'immoler les fils de Brutus.431
CHAP. IV. - Un prince ne peut vivre en sécurité sur son trône tant que vivent encore ceux qu'il en a dépouillés.433
CHAP. V. - Ce qui fait perdre un royaume à un roi héréditaire.434
CHAP. VI. - Des conjurations.436
CHAP. VII. - D'où vient que le passage de la liberté à la servitude, et de la servitude à la liberté, est parfois paisible et quelquefois sanglant.464
CHAP. VIII. - Quiconque veut introduire des changements dans une république doit bien considérer à qui il a affaire.465
CHAP. IX. - Comment il est nécessaire de changer avec les temps, si l'on veut toujours avoir la fortune propice.469
CHAP. X. - Un général ne peut éviter la bataille quand son adversaire veut à tout prix l'y contraindre.471
CHAP. XI. - Celui qui a à lutter contre de nombreux adversaires parvient à l'emporter, malgré son infériorité, s'il peut soutenir le premier choc.476
CHAP. XII. - Un sage capitaine doit mettre ses soldats dans la nécessité de se battre, et procurer à ses ennemis toutes les occasions d'éviter le combat.479
CHAP. XIII. - Lequel doit inspirer plus de sécurité, ou un bon général qui commande une armée peu courageuse, ou une vaillante armée que dirige un faible général.483
CHAP. XIV. - Des effets que produisent les inventions nouvelles qui apparaissent au milieu du combat, et les paroles inattendues que l'on y fait entendre.486
CHAP. XV. - Une armée ne doit obéir qu'à un seul général, et non à plusieurs, et la multiplicité des chefs est dangereuse.489
CHAP. XVI. - Dans les temps difficiles, c'est au vrai mérite que l'on a recours; et lorsque tout est tranquille, ce ne sont pas les hommes vertueux, mais ceux que distinguent leurs richesses ou leurs alliances, qui obtiennent le plus de faveur.491
CHAP. XVII. -Il ne faut point outrager un citoyen, et lui confier ensuite ou un emploi ou un gouvernement important.495
CHAP. XVIII. - Rien n'est plus digne d'un capitaine habile que de pressentir les desseins de l'ennemi.496
CHAP. XIX. - Si, pour gouverner la multitude, la clémence a plus de pouvoir que la rigueur.499
CHAP. XX. - Un trait d'humanité eut plus de pouvoir sur les Falisques que toutes les forces de Rome.501
CHAP. XXI. - D'où vient qu'Annibal, en se conduisant d'une manière tout opposée à celle de Scipion, obtint en Italie les mêmes succès que son rival en Espagne.503
CHAP. XXII. - Comment la dureté de Manlius Torquatus et la modération de Valerius Corvinus leur acquirent à tous deux une gloire semblable.506
CHAP. XXIII. - Par quels motifs Camille fut banni de Rome.512
CHAP. XXIV. - La prolongation des commandements rendit Rome esclave.514
CHAP. XXV. - De la pauvreté de Cincinnatus, et de celle d'un grand nombre de citoyens romains.516
CHAP. XXVI. - Comment les femmes ont été quelquefois cause de la perte d'un État.518
CHAP. XXVII. - Quelle est la conduite qu'on doit suivre pour rétablir l'union dans une ville où règne la discorde, et combien est fausse l'opinion que, pour se maintenir dans une ville, il faut y entretenir la désunion.520
CHAP. XXVIII. - On doit surveiller avec soin les actes des citoyens, parce qu'il arrive souvent que les commencements de la tyrannie se cachent sous une action vertueuse.523
CHAP. XXIX. - Les fautes des peuples naissent des princes.525
CHAP. XXX. - Un citoyen qui veut user de son crédit pour

Date de parution :

Ouvrage de 642 p.

15.6x23.4 cm

Disponible chez l'éditeur (délai d'approvisionnement : 5 jours).

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