L'art brut, objet inclassable ? Coll. Hors-collection

Cet ouvrage, qui rassemble les Actes du colloque qui se tint à l'Université Bordeaux Montaigne et au Musée de la Création Franche les 4 et 5 octobre 2018 offre une série de mises au point indispensables sur une catégorie énigmatique : « l'art brut ».
Cet ouvrage, qui rassemble les Actes du colloque qui se tint à l'Université Bordeaux Montaigne et au Musée de la Création Franche les 4 et 5 octobre 2018 offre une série de mises au point indispensables sur une catégorie énigmatique : « l'art brut ». Dans une perspective interdisciplinaire, il apporte un éclairage démystificateur sur les discours qui entourent ces productions, en se demandant également comment leur examen permet d'interroger la nature et le pouvoir de l'art. En ce sens, il s'adresse à un public universitaire (philosophie, histoire de l'art), mais aussi au public des musées d'art moderne et contemporain, des musées d'art brut, et des écoles d'art.

Marina Seretti mène ses recherches en philosophie de l'art à l'université Bordeaux-Montaigne, en qualité de maître de conférences et de membre du centre SPH, « Sciences, Philosophie, Humanités ». Artiste diplômée des Beaux-Arts d'Angers, elle développe une pratique du dessin, de la gravure et de l'écriture en accord avec ses recherches philosophiques.
Raphaël Koenig est chercheur associé en littérature comparée à l'université d'Harvard. Il étudie la réception de « l'art des fous » et de « l'art brut » par les avant-gardes françaises et allemandes, travail pour lequel il a bénéficié en 2019-2020 d'une bourse postdoctorale du Centre de recherches sur l'art moderne Leonard A. Lauder du Metropolitan Museum of Art (New York).