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Imagerie nasosinusienne Du plus fréquent au plus rare

Langue : Français

Auteurs :

Couverture de l’ouvrage Imagerie nasosinusienne

La rhinologie a connu d’importants progrès grâce à l’endoscopie et à la chirurgie endoscopique et a bénéficié de l’extraordinaire développement de l’imagerie médicale : TDM, CBCT, IRM, TEP-TDM au 18F-FDG, scintigraphie au gallium 67, angiographie. L’imagerie nasosinusienne est présentée comme un instantané photographique entre l’attente de l’ORL et la réponse du radiologue (diagnostic et bilan d’extension).

La première partie de l’ouvrage est une aide pratique à la réalisation des examens TDM et IRM. La seconde partie concerne l’anatomie et les variantes du normal. La troisième partie de l’ouvrage regroupe en 280 cas radiocliniques les différentes pathologies nasosinusiennes, des plus fréquentes aux plus rares (en excluant les pathologies traumatiques et malformatives de la face). Sont ainsi décrits : · les aspects épidémiologiques et cliniques nécessaires à l’interprétation de l’imagerie ;

· les aspects iconographiques banals, évocateurs, voire pathognomoniques, à travers les différentes techniques d’imagerie ;

· l’intérêt et les limites de l’imagerie pour le diagnostic positif et différentiel ;

· les difficultés pour le recueil, la hiérarchisation et l’interprétation de certains signes.

Riche de plus de 1 200 illustrations dont la description des signes radiologiques et les commentaires très concis visent à développer l’intuition du lecteur, l’ouvrage est complété par un index des cas radiocliniques et un index général.

Techniques d'imagerie nasosinusienne. Radio-anatomie des cavités nasosinusiennes. Sinusites et rhinosinusites. Pseudo-tumeurs nasosinusiennes. Tumeurs nasosinusiennes. Liste des principales abréviations. Index des cas. Index général.

Consultez le sommaire détaillé
La rhinologie a connu d’importants progrès grâce à l’endoscopie et la chirurgie endoscopique. Il en a résulté une évolution des besoins d’imagerie qui sont devenus moindres, mais plus sélectifs et plus exigeants. Le traditionnel « sinus 3 incidences » est devenu obsolète et ne doit plus être prescrit. Les jeunes générations de radiologues ne savent d’ailleurs plus y reconnaître les subtilités anatomiques. La tomodensitométrie (TDM) est devenue l’examen de référence en raison de la prédominance des structures osseuses du massif facial. Les récents progrès des machines permettent de bonnes reconstructions, en particulier dans les trois plans principaux. L’imagerie par résonance magnétique (IRM), grâce à sa possibilité de caractérisation tissulaire, permet d’accéder à une bonne différenciation de la nature des processus incertains dans les cavités sinusiennes. Le recours à ces techniques en coupes ne doit cependant pas faire oublier leurs limites : l’irradiation pour la première, le coût pour la seconde. 

L’attente du clinicien ORL est double : un diagnostic ou, du moins, une bonne approche du diagnostic de nature et un bilan d’extension. Si de nombreux aspects sont caractéristiques, il demeure cependant bien des pathologies n’ayant aucun critère radiologique particulier. Un résultat décevant ne devrait pourtant pas être préjudiciable, le recours aux examens anatomopathologiques et biologiques pouvant redresser l’approche diagnostique. Pour le radiologue, la région nasosinusienne ne constitue pas une priorité dans sa pratique courante. De ce fait, l’anatomie en particulier de la région ostioméatale, les limites du normal et certaines pathologies demeurent parfois peu ou pas connues. Un minimum d’informations cliniques est donc nécessaire et souvent déterminant pour la conduite et l’interprétation de l’examen. La connaissance a posteriori du diagnostic définitif d’une pathologie incertaine est tout aussi utile et formatrice. Cela confirme, dans l’intérêt des patients, l’utilité, voire la nécessité d’échanges d’informations. 

Le présent ouvrage est principalement orienté sur l’imagerie. Ce festival d’images s’intègre dans la grande rupture de l’imagerie radiologique. Une première partie a pour principal but l’aide pratique à la réalisation des examens tomodensitométriques et IRM. Une deuxième partie concerne l’anatomie et les variantes du normal, en ne retenant que les structures effectivement identifiables. La troisième et principale partie de l’ouvrage présente de nombreux cas cliniques en montrant le polymorphisme des atteintes, mais aussi la ressemblance de certaines entités pathologiques. La description des signes radiologiques et les commentaires sont volontairement limités pour développer l’intuition du lecteur. Le spectre des questions traitées est large, mais exclut la traumatologie qui n’appartient pas à la pratique ORL courante. 

Ce livre sera utile aux spécialistes de la tête et du cou et aux radiologues, et il constituera une bonne pédagogie pour les internes en formation. Il pourra aussi donner un aperçu utile à ceux qui cherchent à améliorer leurs connaissances dans un domaine où le médecin est couramment appelé à intervenir. 

Les auteurs sont tout à fait complémentaires, alliant non seulement les deux disciplines concernées, mais aussi les deux modes d’exercice libéral et hospitalier. Je connais Jean- Jacques Braun depuis très longtemps. C’est un passionné. Il a une vaste expérience de la rhinologie et de l’allergologie. Issu de l’équipe de Claude Conraux, il exerce principalement en libéral, mais aussi en hospitalier. Son intérêt s’est porté sur l’imagerie depuis que la tomodensitométrie est devenue fiable. Ses diagnostics sont tous confirmés, un grand nombre de cas ayant été opérés par lui. Sophie Riehm, Radiologue, fait partie de l’équipe de Francis Veillon. Son activité orientée sur l’imagerie de la tête et du cou lui a permis d’en acquérir une bonne connaissance. Sa localisation hospitalière lui a donné l’occasion de rencontrer les complications les plus sévères de la pathologie nasosinusienne, que ne voit pas l’ORL de ville et qui complètent utilement cet ouvrage. 

Pierre Bourjat
Professeur de Radiologie

Tous les ORL, les spécialistes de la tête et du cou, les radiologues et les internes en formation dans ces spécialités.tous

Jean-Jacques Braun, ORL, exerce à la fois en libéral et à l’hôpital, dans le service d’ORL et de Chirurgie cervicofaciale de l’hôpital de Hautepierre et dans l’unité de Pneumologie, d’Allergologie et de Pathologie respiratoire de l’environnement du Nouvel Hôpital Civil, CHU de Strasbourg.

Sophie Riehm, Radiologue, exerce dans le service de Radiologie de l’hôpital de Hautepierre, CHU de Strasbourg.

Date de parution :

Ouvrage de 324 p.

17x24 cm

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