Dictionnaire des difficultés du français médical, 3e éd. (3° Éd.) Coll. Sciences Fondamentales
Langue : Français
Auteur : Querin S.
Tout en débusquant les anglicismes, l’auteur aborde de nombreuses autres
difficultés du français médical. L’expression personne à risque
pose-t-elle problème ? Peut-on écrire olécrâne sans accent circonflexe ?
Accouchement vaginal est-il un pléonasme ? Doit-on dire antiagrégant ou
antiagrégeant plaquettaire ? Bariatrique devrait-il s’écrire avec un y ?
Quelle différence y a-t-il entre cadavéreux et cadavérique ? Le canal
carpien peut-il être considéré comme un tunnel ? Quel(s) sens peut-on
donner en français au mot compliance ? Écrit-on convection ou convexion ?
Devrait-on dire maladie coronaire ou maladie coronarienne ? Le terme
dysfonction a-t-il un sens ? Comment traduire endpoint, outcome, pattern
et reuptake ? Dit-on un ou une enzyme, un ou une épistaxis, la ou le
thalidomide ? Une artériographie est-elle invasive ? Quelle nuance y
a-t-il entre lithiase et calcul ? Qu’est-ce que la nyctalopie ? Peut-on
être porteur d’une maladie cardiaque ? Les termes réadaptation et
réhabilitation sont-ils synonymes ? Peut-on dire d’une maladie qu’elle est
sévère ? Une dépression peut-elle être situationnelle ? Doit-on écrire
tampon(n)ad e avec un ou deux n ? Doit-on dire valve ou valvule aortique ?
Toutes ces questions et bien d’autres sont discutées, en tenant compte à la fois de la norme et de l’usage (ou des usages), quitte à bousculer au passage quelques idées reçues.
Parmi les quelque 1 900 entrées que compte cette nouvelle édition entièrement revue et très augmentée, une place toute particulière est accordée aux québécismes médicaux comme anovulant, bande herniaire, brûlement, fibrose kystique, maladie pulmonaire obstructive chronique, marchette, physiatre, sarrau, serrative et siler, aux hybrides gréco-latins (tels lombalgie, mammographie, rénogramme et tensiomètre ) et à d’autres termes qui témoignent à la fois de la diversité et de la vitalité du français médical.
Ce dictionnaire a sa place dans la bibliothèque de tous ceux qui s’intéressent à la langue médicale : médecins, infirmières, secrétaires, traducteurs, réviseurs, professeurs et étudiants dans le domaine médical ou langagier
Toutes ces questions et bien d’autres sont discutées, en tenant compte à la fois de la norme et de l’usage (ou des usages), quitte à bousculer au passage quelques idées reçues.
Parmi les quelque 1 900 entrées que compte cette nouvelle édition entièrement revue et très augmentée, une place toute particulière est accordée aux québécismes médicaux comme anovulant, bande herniaire, brûlement, fibrose kystique, maladie pulmonaire obstructive chronique, marchette, physiatre, sarrau, serrative et siler, aux hybrides gréco-latins (tels lombalgie, mammographie, rénogramme et tensiomètre ) et à d’autres termes qui témoignent à la fois de la diversité et de la vitalité du français médical.
Ce dictionnaire a sa place dans la bibliothèque de tous ceux qui s’intéressent à la langue médicale : médecins, infirmières, secrétaires, traducteurs, réviseurs, professeurs et étudiants dans le domaine médical ou langagier
Le docteur Serge Quérin est professeur agrégé à la Faculté de médecine de
l’Université de Montréal. Il a reçu le prix Camille-Laurin de l’Office québécois de la
langue française en 2005 et un prix spécial de l’Association des médecins de
langue française du Canada en 2006
Date de parution : 07-2017
Ouvrage de 352 p.
15.3x23 cm
Thème de Dictionnaire des difficultés du français médical, 3e éd. :
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